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Défi en trottinette et lutte contre la leucémie.

Le tour du Mont-Blanc en trottinette, ça vous dit quelque chose ? C’est le challenge de Romain, sportif atteint de leucémie, afin de mettre en avant la lutte contre la maladie.

La lutte contre la maladie

“J’ai décidé de traverser la France entre Biarritz et Chamonix pour mettre en valeur la lutte contre la maladie et la faire connaitre un peu plus. Trop peu de gens s’y intéressent et il n’y a pas assez de solutions. J’ai récolté des fonds pour une association, c’est le genre de défi que j’aime bien faire.  Dès que j’ai fini le premier défi je me suis dit qu’il fallait que je reparte.

Depuis janvier 2019 j’ai eu en tête de faire le Tour du Mont Blanc, par les chemins de randonnée, avec une trottinette. Le but c’est de rendre mes défis récurrents. Si ça se passe bien, l’idée serait de faire un gros circuit de randonnée mythique par an”.

Le défi

“D’abord, mon premier défi, c’était 1 400 km, pendant 26 jours, 20 jours de trottinette. J’avais prévu 6 jours de récupération et d’animation dans chaque ville où je passais pour présenter la maladie. C’était pour en parler et pour la récolte de dons”.

 

Seul avec sa trottinette

“En fait, j’étais parti tout seul en trottinette. Puis j’avais une assistance : une voiture en permanence derrière moi, pour assurer toute la logistique. Une équipe s’est relayée, et très souvent, sur plusieurs étapes j’étais accompagné par des gens à vélo.

Pour ce défi, je repars seul, j’ai 170 km et c’est BEAUCOUP plus dur que le premier défi. En effet, j’ai 9 500 mètres de dénivelé positif à grimper… et la même chose à descendre”.

Le projet

“Quand j’ai fini le premier défi, j’étais certain que j’allais repartir. Entre temps j’ai monté ma boîte donc pas mal de boulot. C’est ma compagne Céline qui m’a donné l’idée. Je n’avais pas bien compris que c’était plus dur de faire 160 km en montagne que 1600 sur la route. Petit à petit, l’idée a fait son chemin et on disait que c’était costaud physiquement. Je ne sais pas si c’est réalisable. Mais je vais tenter !”

La balise qui rassure

“Le suivi GPS va beaucoup sécuriser les choses, mes proches pour les rassurer. Je pense aussi à mon équipe d’assistance pour passer l’alerte pour savoir où j’en suis sans avoir le lien. C’est aussi pour savoir quand je peux potentiellement arriver vers eux. Et si eux sont équipés d’une balise, pour pouvoir les repérer aussi. Donc on pourra se retrouver plus facilement.”

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